La côte de Noja fait face ces jours-ci à l'arrivée massive de Rugulopteryx okamurae, une algue d'origine asiatique qui a envahi les plages les plus fréquentées en pleine saison. Son accumulation sur le rivage et le sable a transformé l'apparence des plages et a forcé l'activation d'un opération de nettoyage d'urgence.
La condition est particulièrement concentrée dans Trengandín et Ris, avec une tapisserie continue de vestiges qui occupe environ 2 kilomètres de long et certains 20 mètres de large entre le sable sec et la ligne d'eau. À l'inconfort causé par la mauvaises odeurs L'inconfort de la marche et du bain s'ajoute, et dans certaines sections, caravelles portugaises, ce qui complique encore davantage le bain.
Que se passe-t-il à Trengandín et Ris

Dès la première heure, les utilisateurs ont été confrontés à un tapis marron qui recouvre une bonne partie de l'entrée de l'eau. À marée haute, le matelas atteint parfois jusqu'à la hauteur du genou, ce qui décourage de nombreux baigneurs et complique l'accès avec des enfants.
Parmi les plaintes les plus courantes, on trouve : puanteur de putréfactionLa présence d' insectes Attirés par les restes en décomposition et l'impression générale de saleté, nombreux sont ceux qui choisissent d'utiliser chaussures d'eau se déplacer le long du rivage ou chercher directement des zones moins touchées.
Impact écologique et impact sur la pêche locale

Rugulopteryx okamurae est un des modèles Les espèces envahissantes qui se reproduit très rapidement à travers les sporesoccupant l'espace et les ressources de la flore indigène. En formant des bancs denses à la surface, il empêche le passage lumière et oxygène, ce qui provoque l'étouffement du fond marinPour une compréhension plus approfondie de la situation, consultez l'article sur impact environnemental des algues asiatiques.
Les plongeurs locaux et les centres de plongée signalent qu'ils ont perçu ces derniers jours entre un 30% et 40% de durée de vie en moins dans des zones habituellement riches en faune sauvage. Parmi les espèces touchées figurent araignées de mer, crabes royaux, congres et raies, en plus d'un déclin des algues indigènes de la région telles que gelidium.
Cette algue est également peu utile comme abri ou zone de frai pour de nombreux poissons, ce qui ajoute de la pression sur les écosystèmes locaux et complique la activité de pêche, déjà conditionné par les tempêtes et la saisonnalité.
Opération de nettoyage et chiffres

Le gouvernement de Cantabrie a déclaré la urgence pour faire face au retrait et a chargé une entreprise spécialisée de créer un appareil avec cinq tracteurs, quatre lames mixtes, trois camions y treize ouvriersLe travail est divisé entre Ris, Trengandín, Helgueras et Pineda, s'adaptant aux marées pour maximiser l'efficacité.
En seulement trois jours, ils ont pris leur retraite plus de 1.600 XNUMX tonnes, un chiffre qui continue de croître car les accumulations continuent d'atteindre la côte à chaque changement de marée. Pour éviter dispersion des spores, les méthodes de collecte qui n’écrasent pas les matériaux et ne les rejettent pas à la mer sont privilégiées.
Après la collecte, les tas sont laissés sec dans des zones restreintes, puis déplacés vers un gestionnaire autorisé pour le traitement. Le coût direct de l'appareil dépasse actuellement €60.000, sans compter les dommages indirects causés au tourisme et à la pêche.
Administrations et horizon immédiat

La mairie de Noja assure avoir reçu le premiers avertissements en mai par les pêcheurs et le centre de plongée de la ville, et appelle à une meilleure coordination entre les administrations. Consistoire comme l' Exécutif cantabrique ont demandé au Ministère de la transition écologique d'assumer les coûts et de mener les mesures de contrôle.
Les institutions régionales rappellent qu’il existe un stratégie de l'État pour les espèces exotiques envahissantes et exigent des avancées pratiques pour éviter des épisodes comme celui actuel, qui a coïncidé avec une municipalité avec plus de 100.000 Personnes entre voisins et visiteurs en plein été.
